Sur le papier, rien ne ressemble tant à un maillot de bain qu’un autre maillot de bain. Pourtant, vous conviendrez avec nous qu’il n’est pas chose facile d’en trouver deux semblables. Longueur, coupe, matière, motif : nombre de paramètres différencient nettement ces pièces maîtresses de l’été.
Du côté de chez Hast, nous avons décidé d’en éditer trois, pensés et confectionnés avec la justesse que vous savez. Un trio de maillots élégants et responsables, aussi à l’aise dans l’eau que sur la terre ferme.
Les catégories de maillots de bain pour homme
Avant toute chose, il convient de préciser qu’il existe différents types de maillots de bain pour homme. Aux deux extrémités se trouvent d’une part le slip de bain et d’autre part le boardshort. Plébiscités par les (maîtres) nageurs, les premiers sont courts et économes en matière ; tandis que les seconds évoquent plutôt les sports de glisse comme le surf ou le paddle. Entre ces deux pôles se trouvent le boxer, caleçon de bain plutôt ajusté, et le traditionnel short de bain.
Pour sa polyvalence et sa versatilité, c’est ce dernier modèle que nous avons choisi de travailler. Sans être moulant ni bouffant, il tombe à mi-cuisse, offre des volumes cohérents et affiche des proportions harmonieuses en toutes circonstances. De manière générale, son design permet d’accueillir des poches sans surcharger l’ensemble, détail que nous n’avons négligé ni au recto ni au verso.
Le problème avec les matières des maillots de bain
Pour des raisons pratiques, l’immense majorité des marques travaille avec des matières synthétiques pour fabriquer ses maillots de bain. Qu’il s’agisse d’élasthanne, de polyamide ou de polyester, ces fibres chimiques donnent aux maillots de bain des propriétés adaptées à leur usage : étanchéité, légèreté, élasticité, résistance à l’abrasion et séchage rapide.
Problème, ces matières premières issues de la pétrochimie sont loin d’être inoffensives. D’un côté, leur production est très polluante, énergivore et gourmande en ressources. Elles ne sont pas biodégradables et libèrent des microplastiques dévastateurs pour les écosystèmes et leurs habitants.
Les maillots de bain Hast et le choix du Seaqual®
Chez Hast, la justesse et l’honnêteté guident l’ensemble de notre démarche. La sincérité est au cœur de notre métier, et nous nous efforçons d'être aussi transparents dans notre communication que dans nos processus de production. Si notre passion pour le vêtement est indéniable, nous aspirons également à le produire de manière respectueuse, conformément à nos valeurs éthiques et environnementales.
À cet égard, la fabrication de nos maillots de bain nous a placés dans une situation délicate : nous voulions les avantages des matières précitées en termes de performance, sans la lourde empreinte écologique associée.
En conséquence, nous avons jeté notre dévolu sur une matière innovante : le Seaqual®.
Obtenu par la revalorisation du plastique récolté dans les océans, le Seaqual® est un polyester recyclé à 100% dont l'approvisionnement en matière première provient de déchets récupérés en mer par des pêcheurs et des organisations. Une fois traité, il permet de créer des tissus aux propriétés analogues à celles d’un polyester classique (légèreté, durabilité et séchage rapide), avec un bilan carbone nettement inférieur. Une alternative cohérente permettant de coupler technicité et responsabilité, tout en préservant notre promesse d’un vestiaire 100% naturel ou recyclé.
Pour l’été 2024, nous vous proposons donc un modèle uni kaki, une version verte à rayures écrues et un modèle écru à rayures bordeaux.
Confectionnés au Portugal, ils disposent tous d’un filet intérieur tout doux, d’une poche arrière passepoilée fermée par un bouton et d’un cordon de serrage 100% coton.
Ils sont livrés dans leur pochon assorti au tissu du maillot, prêts à sauter dans vos valises avant les grands bains estivaux.
Porter les maillots de bain Hast
Sans trop de surprise, la meilleure façon de porter notre maillot de bain est de le faire en contexte aquatique. Océan, mer, piscine, lac, étang, rivière : il sera partout comme un poisson dans l’eau.
Ceci étant dit, nous avons pris soin de travailler des volumes qui passeront tout aussi bien hors des flots. Peut-être pas au bureau, certes, mais il est assez passe-partout pour jouer le rôle d’un short et se fondre dans une tenue décontractée en direction de la plage. Par exemple, nous l'imaginons volontiers avec un tee-shirt en lin pour homme et des tennis en toile pour aller faire son marché le dimanche matin.
Pour aller encore plus loin, vous pouvez même l’imaginer avec une paire de mocassins, accompagné d’un polo ou d’une chemise à manches courtes. Osé, oui, mais drôlement réussi.
Au fond, l’important est de respecter son registre initial pour éviter les associations trop hasardeuses. Ainsi, il peut fonctionner avec une chemise en lin généreuse ou une chemisette en Giro Inglese, mais pas avec une chemise de popeline ultra-formelle.
L’entretien du maillot de bain
Vous l’imaginez bien, cette pièce n’aime rien tant que l’eau. Vous pourrez donc la passer en machine sans la moindre crainte, à condition de choisir un programme 30°C et de rester sous les 600 tours/minute côté essorage.
Précision importante : nos maillots de bain ont beau être tissés en polyester recyclé Seaqual®, nous parlons malgré tout d’une matière synthétique. Ils sont donc sujets à la libération de microplastiques, raison pour laquelle nous vous encourageons à investir dans un sac GuppyFriend® afin de filtrer ces particules tout en protégeant votre maillot de bain au cours du lavage.
Parce qu’une image vaut mille mots, voici ce que vous éviterez en procédant à ce petit investissement.
Crédits : GuppyFriend.comLe mot de la fin
Partenaire particulier de nos étés, le maillot de bain est un incontournable de la belle saison. Pour faire bronzette ou pour piquer une tête, il sera de toutes vos promenades et de tous vos plongeons.
Soucieux du style et conscients du monde, nous avons décidé d’en éditer trois cette saison, tous tissés dans une matière révolutionnaire : le Seaqual®.
Fabriqués en polyester recyclé grâce à la revalorisation de déchets océaniques, ils soutiennent le nettoyage de nos espaces marins et évitent la production de fibres chimiques nouvelles. Une manière de faire trempette en responsabilité et avec style, des premiers bains de juin aux derniers ploufs d’octobre.